1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 mystique épithalamique se retrouve à la fois chez Bernard de Clairvaux , Hughes de Saint-Victor et Abélard lui-même. Héloïse et Abélard viven
2 les grandes polémiques où venaient de s’affronter Bernard de Clairvaux et les cathares, mais aussi Abélard, l’école de Chartres, et plusieur
3 allusion au « cœur » est nettement dirigée contre Bernard de Clairvaux , dont les écrits étaient si familiers au poète qu’il imite bien souve
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
4 mystique épithalamique se retrouve à la fois chez Bernard de Clairvaux , Hughes de Saint-Victor et Abélard lui-même. Héloïse et Abélard viven
5 les grandes polémiques où venaient de s’affronter Bernard de Clairvaux et les cathares, mais aussi Abélard, l’école de Chartres, et plusieur
6 allusion au « cœur » est nettement dirigée contre Bernard de Clairvaux , dont les écrits étaient si familiers au poète qu’il imite bien souve
3 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
7 mystique épithalamique se retrouve à la fois chez Bernard de Clairvaux , Hughes de Saint-Victor et Abélard lui-même. Héloïse et Abélard viven
4 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
8 va faire éclater sa querelle : Pierre Abélard et Bernard de Clairvaux . Les chansons d’amour d’Abélard pour Héloïse sont presque exactement
9 eu regarde au cœur plus qu’aux actes, écrit-elle. Bernard de Clairvaux développe de son côté la première mystique chrétienne de l’Amour, sub